31/07/2009

Les fabricants de vaccins contre la grippe H1N1 viennent d’obtenir l’immunité juridique

La secrétaire d’Etat U.S. à la santé, Kathleen Sebelius, vient de signer un décret conférant une totale immunité aux fabricants de vaccins contre la grippe H1N1, en cas de poursuite judiciaire.

De plus le programme accéléré - de 7 milliards de dollars - pour la fabrication du vaccin qui devra être mis sur le marché à l’automne ne prévoit pas de test de sécurité. Y aurait-il un programme sous-jacent à l’officielle et hystérique campagne de l’OMS destinée a élever la prétendue grippe porcine au rang de pandémie ?

Tout d’abord, ni l’OMS ni le CDC ni aucune instance scientifique n’a produit de preuve quant à l’existence de ce nouveau virus H1N1, virus qui devrait être isolé, caractérisé et photographié par un microscope électronique en vertu des procédures scientifiques habituelles lorsqu’il existe un danger de pandémie.

L’actuelle panique provoquée par campagne officielle sur les dangers supposés de la grippe porcine prend des allures de roman de science-fiction Orwellien. Le décret signé par Sebelius accorde l’immunité à ceux qui fabriquent le vaccin contre la grippe porcine conformément aux dispositions de la loi 2006 sur les urgences de santé publique.

C’est en 1976, que le gouvernement des USA fut confronté pour la dernière fois à un nouveau virus de grippe porcine. Il y eut une campagne nationale de vaccination à la suite de laquelle des milliers de personnes ont demandé des dommages et intérêts alléguant qu’elles avaient subi des effets secondaire dus à la vaccination.

Cette fois-ci le gouvernement a pris des mesures pour empêcher tout procès intenté par les milliers de citoyens américains qui souffriront des sévères complications dues aux vaccins non testés.

L’histoire s’assombrit maintenant que l’Administration Obama a signé le document conférant l’immunité en cas de poursuites judiciaires. La FDA ( Food and Drug Administration ) américaine et les autorités sanitaires au Royaume-Uni ont décidé de laisser l’industrie pharmaceutique introduire sur le marché les vaccins sans que leurs possibles effets secondaires ne soient évalués. Les premières doses de vaccins seront délivrées au public avant que leur innocuité et leur efficacité ne soit avérées. Les vaccins non testé sont délivrés en deux doses. Une des marques de vaccin contiendrait un additif chimique - adjuvant - afin de renforcer l’effet, augmentant dramatiquement le potentiel d’effets secondaires.

Les enfants seront en première ligne et pourraient être vaccinés un mois avant que les résultats des essais ne soient connus. En Grande-Bretagne, les services de santé du gouvernement se sont préparés pour un scénario qui prévoit, durant l’hivers, 65 000 décès dont plusieurs milliers d’enfants. Le gouvernement britannique a commandé 132 millions de doses de vaccins aux fabricants Baxter et GlaxoSmithKline qui ,dans la perspective d’une pandémie, ont obtenu par avance une licence pour trois « bases » de vaccins, alors même que l’OMS et les épidémiologistes nous disent que nous ne pouvons pas nous préparer à l’avance du fait d’une possible et inquiétante mutation de l’actuel et si peu dangereux H1N1.

Curieusement, un an avant que le premier cas de la prétendue grippe porcine ne soit décelé, la plus grande firme pharmaceutique Baxter, a déposé un brevet pour un vaccin contre le H1N1 : Brevet US 2009/0060950 A1 qui stipule « la composition ou vaccin composé de plus d’un antigène ... comme la grippe A et B en particulier prélevé sur un ou plus des types humains de H1N1, H2N2, H3N2, H5N1, H7N7, H1N2, H9N2, H7N2, H7N3, H10N7, de grippe porcine H1N1, H1N2, H3N1 and H3N2 sous-type, de la grippe du chien ou du cheval H7N7, H3N8 sous-type ou de la grippe aviaire H5N1, H7N2, H1N7, H7N3, H13N6, H5N9, H11N6, H3N8, H9N2, H5N2, H4N8, H10N7, H2N2, H8N4, H14N5, H6N5, H12N5 sous-type."

La demande de brevet précise : « des adjuvants appropriés peuvent être choisis à partir de gels minéraux, d’hydroxyde d’aluminium, d’agents de surface, de lysolecithin, de pluronic polyols, de polyanions, ou d’émulsions d’eau et d’huile. Bien sûr la sélection de l’adjuvant dépend de l’utilisation. Par exemple la toxicité dépend de l’organisme auquel le produit est destiné et peut varier d’une toxicité nulle à une toxicité élevée. »

En l’absence de toute responsabilité juridique se pourrait-il que Baxter se prépare à vendre des millions de doses de vaccins contenant un adjuvant hautement toxique tel que l’hydroxyde d’aluminium ? Il serait peut-être temps de demander à tous les responsables de l’OMS, du SAGE, du CDC et des membres de l’Administration Obama, d’être les premiers à se faire inoculer la dose entière de vaccin H1N1 qui sera distribuée au public. Nous devrions ajouter à la liste des premiers vaccinés, tous les membres du Congrès qui ont voté l’allocation d’urgence de 7 milliards de dollars et qui ont entériné l’immunité accordée aux firmes pharmaceutiques dans l’éventualités de procès. La population n’a pas à servir de cobaye pour les essais d’un nouveau vaccin. Nous pourrons observer les résultats. Le même principe doit s’appliquer à tous les gouvernements et organismes de santé qui demandent à leurs citoyens d’expérimenter les vaccins H1N1 de GlaxoSmithKline ou de Baxter, afin de vérifier leur innocuité.

Source : Mondialisation

29/07/2009

Entretien avec Pierre Hillard

La vidéo ci-dessous est un entretien avec Pierre Hillard en dehors des sentiers battus où il aborde les thèmes déjà développés dans ses livres mais aussi des sujets sur lesquels il n'est pas fréquemment interrogé, comme le H1N1, l'éventuelle vaccination obligatoire, le programme de réduction de la population mondiale, le spectre d'une loi martiale aux Etats-Unis, ou les racines historiques des sociétés secrètes...

Pierre Hillard est docteur en sciences politiques et enseigne les Relations Internationales à l'ESCE (Ecole Supérieure du Commerce Extérieur). Spécialiste reconnu, il a déjà publié plusieurs ouvrages traitant des questions européennes et mondiales.

L'interview a été réalisée le 25 juillet 2009 par Xo et Max pour We Are Change, Syti et News of Tomorrow.



Entretien avec Pierre Hillard à Brest - partie 1/9 2009
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Source : Le Blog de Sity.net

Grippe A : alerte maximale probable à la rentrée

Le niveau 6 d'alerte du plan de ­lutte contre la pandémie grippale pourrait être décrété en France à la rentrée de septembre, a prévenu mardi la ministre de la Santé, Roselyne Bachelot, interrogée sur France Inter. Aujourd'hui, le niveau d'alerte est de 5A sur le sol français. «Il est très probable que le début de l'automne verra une circulation beaucoup plus active du virus», estime cependant Roselyne Bachelot. Dernier grade du plan national contre la pandémie grippale, le niveau 6 permet de mettre en œuvre une série de mesures sans toutefois les rendre obligatoires. Chacune doit être examinée par la cellule interministérielle de crise avant d'être éventuellement adoptée.

• Ecoles fermées. Si tel était le cas, les crèches, établissements d'enseignement, internats et toutes les structures d'accueil collectif de mineurs pourraient voir leurs portes se fermer. En cas de montée en puissance de la propagation du virus, cette mesure est qualifiée d'«indispensable». «Son efficacité est démontrée pour limiter la contagion lors d'épidémies grippales», selon le plan national . Mais cette décision lourde pourrait immobiliser des acteurs de la lutte contre le virus, tels les parents d'élèves exerçant comme médecin.

• Entreprises et transports désertés. Pour limiter l'importation du virus, un contrôle aux frontières au plan européen est envisagé. De même que l'interruption des arrivées et départs de passagers, notamment aériens. La mise en quarantaine des arrivants par vols aériens est également évoquée, mais cette mesure se heurte à une capacité d'accueil «très limitée». Les sociétés misent de leur côté sur un pourcentage d'absents compris entre 25 % et 45 %. Le plan national appelle à la mise en œuvre du travail à distance, des téléconférences et à la limitation des réunions. Pour l'emploi, le transfert d'activités à des régions moins touchées est évoqué ainsi que la réaffectation des salariés vers des ­secteurs prioritaires. Les dépla­cements individuels seraient limités. La RATP prévoit cependant de continuer à assurer 30 % du trafic. Le plan suggère même un encouragement des ménages à effectuer des réserves alimentaires et en eau.

• Activités limitées. Les activités dites collectives seraient suspendues. La pandémie mettrait ainsi provisoirement fin à tout un pan de la vie culturelle et associative avec l'annulation de spectacles, rencontres sportives, foires, Salons et autres rassemblements festifs. L'activité associative et sociale serait restreinte. En phase 6, les visites aux établissements hospitaliers, maisons de retraite, prisons pourraient être strictement contrôlées, voire interdites.

• Stratégie sanitaire. La généralisation du masque se profile avec la préconisation du port d'un masque chirurgical pour tous dans les espaces publics. Un plan de vaccination massif contre le virus A (H1N1) pourrait être mis en œuvre. «Nous avons 94 millions de doses qui sont achetées ferme, nous avons calculé qu'à peu près les trois quarts de nos compatriotes souhaiteraient se faire vacciner», a rappelé Roselyne Bachelot mardi. La vaccination sera prise en charge par les systèmes de solidarité nationale. Outre l'organisation des soins ambulatoires et la montée en puissance des Samu Centres 15, la ministre s'est penchée sur les centres de vaccination : «Beaucoup de centres peuvent être mobilisés, des dispensaires, des mairies, des centres de santé, des cabinets médicaux pourraient être désignés.» Il s'agit notamment d'optimiser la traçabilité de la vaccination en deux prises. Enfin, les personnes guéries ou immunisées pourraient être mobilisées pour aider à la prise en charge des malades.


Source: Le Figaro

10/07/2009

Un journaliste intente une action judicaire contre l’OMS et les Nations Unies qui ont l’intention d’organiser un génocide de masse !

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Au moment où approche la date de la diffusion du vaccin Baxter’s A/H1N1 contre le virus de la pandémie grippe, prévue en juillet, un journaliste d’investigation autrichien prévient le monde que le plus grand crime de l’histoire de l’humanité est en cours. Jane Burgermeister a récemment intenté une action judiciaire contre l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), les Nations Unies (Onu), et contre plusieurs hauts responsables du gouvernement et des entreprises pour bioterrorisme et pour tentative de meurtre de masse. En outre, elle a préparé une demande en injonction contre la vaccination forcée que l’on dépose auprès des tribunaux américains en ce moment. Ces actions viennent à la suite des poursuites qu’elle a engagées en avril contre les entreprises Baxter AG et Avir Green Hills Biotechnology de l’Autriche pour avoir produit un vaccin contaminé contre la Grippe aviaire. Elle affirme que c’était un acte délibéré visant à provoquer une pandémie et d’en tirer profit par la suite.

Synthèse des revendications et accusations portées conjointement avec le FBI le 10 juin 2009

Dans son dossier d’inculpation, Burgermeister apporte des preuves d’actes de bioterrorisme, c’est-à-dire en violation de la loi des Etats-Unis, commis par un groupe exerçant ses activités sur le territoire des Etats-Unis et sous la direction des banquiers internationaux qui exercent un contrôle sur la Reserve Fédérale, ainsi que sur l’OMS, l’Onu et l’OTAN.

Cet acte de bioterrorisme a pour but de commettre un génocide de masse contre la population des Etats-Unis en utilisant un virus génétiquement modifié de la pandémie de la grippe, avec pour intention de provoquer la mort. Ce groupe a infiltré les bureaux des hauts responsables de l’administration aux Etats-Unis.

Les chefs d’accusation sont portés, entre autres, à l’encontre des personnalités suivantes: Barack Obama, Président des Etats-Unis, David Nabaro, coordonateur du système des Nations Unies pour la lutte contre la grippe, Margaret Chan, Directrice Générale de l’OMS, Kathleen Sibelius, Secrétaire du Département de la Santé et du Personnel, Janet Napolitano, Secrétaire à la sécurité intérieure, David de Rotschild, banquier, David Rockefeller, banquier, George Soros, banquier, Werner Faymann, chancelier de l’Autriche, Alois Stoger, ministre autrichien de la santé. Elles font partie de ce syndicat international des criminels d’entreprise qui a mis au point, produit, accumulé et utilisé des armes biologiques afin d’anéantir la population des Etats-Unis et celle d’autres pays avec pour objectif d’obtenir des retombées politiques et financières.

Ces chefs d’accusation soutiennent que les accusés ont ourdi une conspiration les uns avec les autres et avec d’autres personnalités pour concevoir, financer et participer à la phase finale de la mise en œuvre d’un programme secret de fabrication des armes biologiques impliquant des firmes pharmaceutiques, telles que Baxter et Novartis. Ils y sont parvenus en mettant au point par des techniques biologiques et diffusant des agents biologiques mortels, en particulier, le virus de la « grippe aviaire » afin de s’en servir comme prétexte pour mettre en œuvre un programme de vaccination forcé. Ce dernier donnerait l’occasion d’administrer un agent biologique pour provoquer la mort et des dommages au peuple des Etats-Unis. Cet acte constitue une violation directe de la Loi anti-terroriste sur les Armes Biologiques.

Les Charges réunies par Burgermeister contiennent des preuves que Baxter AG, une filiale autrichienne de Baxter International, a délibérément transmis à 16 laboratoires de quatre pays 72 kilos de virus de la grippe aviaire dont la fourniture a été faite par l’OMS au printemps 2009. Elle soutient que ces preuves constituent une claire indication que les firmes pharmaceutiques et les agences internationales du gouvernement, elles-mêmes, sont activement impliquées dans la production, la mise au point, la fabrication et la distribution des substances biologiques considérées comme les armes biologiques les plus mortelles sur terre, afin de déclencher une pandémie et de provoquer le meurtre de masse.

Dans les charges qu’elle a présentées en avril, elle a fait remarquer que le laboratoire de Baxter en Autriche, l’un des laboratoires de biosécurité, supposés être les plus sûres au monde, n’a pas pris les précautions les plus essentielles et les plus élémentaires pour sécuriser 72 kilos d’un agent pathogène classé comme arme biologique, et pour le séparer de toutes les autres substances conformément à la réglementation stricte du niveau de biosécurité. Au contraire, elle l’a mélangé avec le virus ordinaire de la grippe humaine et expédié à partir de ses installations de Orth dans le Danube.

En février, lorsqu’un employé de Bio Test en République Tchèque a testé le matériel considéré comme candidats vaccins sur les furets, ces derniers en sont morts. L’OMS, l’U.E. ou les autorités sanitaires autrichiennes n’ont organisé aucune enquête à la suite de cet incident. Aucune enquête n’a été réalisée pour connaître le contenu du matériel génétique du virus et on ne dispose d’aucune séquence génétique du virus libéré.

En réponse aux questions parlementaires le 20 mai, le ministre autrichien de la santé, Alois Stoger, a révélé que cet incident avait été traité non pas comme une défaillance en matière de biosécurité, mais comme une infraction commise vis-à-vis du code vétérinaire. Un vétérinaire fut envoyé au laboratoire pour réaliser une brève inspection.

Le dossier présenté par Burgermeister révèle que la diffusion du virus devait constituer une étape importante dans le projet de provoquer une pandémie qui serait l’occasion pour l’OMS de relever son niveau d’alerte à 6. Elle dresse une liste de lois et décrets qui permettre à l’Onu et à l’OMS de suppléer les Etats-Unis au cas où la pandémie se déclare. En outre, la législation imposant la mise en place d’un programme de vaccinations obligatoires serait appliquée aux Etats-Unis sous réserve de la déclaration de la pandémie.

Elle porte l’accusation selon laquelle tout le problème de la pandémie de la “grippe porcine” repose sur un tas de mensonges disant qu’il n’existe aucun virus naturel qui soit une menace pour les populations. Les accusations de la journaliste comporte des preuves qui montrent que les virus de la « grippe aviaire » et de la « grippe porcine » ont, en réalité, été mis au point, dans les laboratoires, par des techniques biologiques grâce aux financements accordés par l’OMS et, entre autres, par d’autres agences gouvernementales. La “grippe porcine” est une maladie hybride. Elle est formée des éléments de la grippe porcine, de la grippe humaine et de la grippe aviaire. Ainsi composée, c’est quelque chose qui vient forcément des laboratoires, selon la plupart des experts.

Les appels lancés par l’OMS pour attirer l’attention sur la progression de la « grippe porcine » et souligner la nécessité de déclarer une pandémie ne prennent pas en considération les causes fondamentales de cette épidémie. Les virus diffusés ont été créés et répandues avec l’aide de l’OMS. De ce fait, cette organisation porte d’abord une large part de responsabilité en ce qui concerne la pandémie. Par ailleurs, les symptômes de la prétendue « grippe porcine » ne peuvent être distingués de ceux de la grippe ordinaire ou du simple rhume. La “grippe porcine” ne provoque pas plus la mort que ne le fait la grippe ordinaire.

Burgermeister souligne que le nombre de cas mortels attribués à la « grippe porcine » est contradictoire et que l’on n’a aucune idée sur la manière dont le nombre de « victimes » a été recueilli.

Il n’existe pas de risque de pandémie à moins qu’une campagne de vaccination de masse soit organisée pour faire de la grippe une arme sous le prétexte de protéger la population. Il existe des motifs légitimes pour croire que les vaccins obligatoires seront à dessein porteurs de maladies particulièrement mortelles.

Elle cite le cas d’un vaccin agréé produit par Novartis et destiné à lutter contre la grippe aviaire. C’est un vaccin qui a causé la mort de 21 personnes sans abri en Pologne au cours de l’été 2008. Le « critère d’évaluation primaire » en était un « taux d’effets indésirables ». Ainsi, ce critère répondait à la définition d’une arme biologique qui est justement celle du gouvernement des Etats-Unis (une substance biologique conçue pour provoquer un taux d’effets secondaires, par exemple, la mort ou la blessure) disposant d’un mode d’administration (injection).

Elle affirme que le même groupe international d’entreprises pharmaceutiques et d’agences internationales du gouvernement qui a mis au point et diffusé le matériel de la pandémie se sont positionnés pour tirer profit de la situation de pandémie ainsi créée en remportant des contrats de fourniture de vaccins. Le groupe qui a mis sur pied le plan de la “grippe porcine” contrôle des medias, et ceux-ci se chargent de la désinformation dont le but est d’endormir le peuple des Etats-Unis afin qu’il accepte ce dangereux vaccin.

Le peuple des Etats-Unis sera victime de souffrances considérables et de dommages irréparables s’il est contraint d’accepter ce vaccin dont l’efficacité n’est pas prouvée, s’il le prend sans son consentement, conformément au Model State Emergency Health Powers Act, National Emergency Act, National Security Presidential Directive/NSPD 51, Homeland Security Presidential Directive/HSPD-20 et à l’International Partnership on Avian and Pandemic Influenza.

Depuis 2008, aux Etats-Unis, Burgermeister explique que ceux, dont les noms apparaissent dans son dossier d’accusation, ont mis en application de nouvelles lois et/ou accéléré la mise en œuvre une législation conçue pour priver les citoyens des Etats-Unis de leurs droits constitutionnels légitimes de refuser cette injection. Ils ont ainsi apporté ou maintenu des dispositions qui font en sorte que le refus de se faire vacciner contre les virus de la pandémie deviennent un délit. Ils ont, en outre, imposé des amendes excessives et cruelles, telles que la peine d’emprisonnement et/ou la mise en quarantaine dans les Camps d’internement FEMA. Parallèlement, ils empêchent aux citoyens des Etats-Unis de réclamer des dommages suite aux blessures et à la mort causées par la vaccination forcée. Ces mesures constituent une violation des lois fédérales contre la corruption et l’abus de pouvoir et de la Constitution et de la Déclaration des droits. En prenant ces actions, les accuses dont les noms sont cités posent les bases d’un génocide de masse.

Se servant de la “grippe porcine” comme prétexte, les accusés ont planifié, au préalable, le meurtre de masse des populations des Etats-Unis au moyen de la vaccination forcée. Ils ont mis en place un vaste réseau de camps de concentration FEMA et identifié des sites devant servir de charniers. En plus, ils sont impliqués dans la conception et l’exécution de plans pour qu’aux Etats-Unis, le pouvoir soit confié à un syndicat international de crime organisé, en violation des lois qui prévoient et réprime la haute trahison.

Selon les accusations de Burgermeister, le groupe de firmes pharmaceutiques comprenant Baxter, Novartis et Sanofi Aventis font partie d’un programme de fabrication des armes biologiques à double but conçu à l’étranger. Le financement de ce programme, conçu pour concrétiser les tueries de masse, est assuré par le syndicat international des criminels. L’objectif dudit programme est de réduire la population mondiale de plus de 5 milliards de personnes dans les dix prochaines années. Leur projet de répandre la terreur pour justifier le fait de contraindre les hommes à renoncer à leurs droits et de mettre en quarantaine de nombreuses personnes dans les camps de concentrations de la FEMA. Les habitations, les entreprises et les propriétés des victimes seront libres et à la portée de ce syndicat.

L’élimination de la population d’Amérique du Nord permettra à cette élite internationale d’avoir accès aux ressources naturelles de ces régions, à savoir l’eau et les zones pétrolifères non exploitées. Par ailleurs, l’élimination des Etats-Unis et la suppression des sa constitution démocratique assureront au groupe de crime international le contrôle total des l’Amérique du Nord.
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