Le serment de l'ordre français des médecins est prononcé par tous les médecins et les pharmaciens admis à exercer la médecine. Son texte légal est le suivant :
« Au moment d'être admis à exercer la médecine, je promets et je jure d'être fidèle aux lois de l'honneur et de la probité.
Mon premier souci sera de rétablir, de préserver ou de promouvoir la santé dans tous ses éléments, physiques et mentaux, individuels et sociaux.
Je respecterai toutes les personnes, leur autonomie et leur volonté, sans aucune discrimination selon leur état ou leurs convictions. J'interviendrai pour les protéger si elles sont affaiblies, vulnérables ou menacées dans leur intégrité ou leur dignité. Même sous la contrainte, je ne ferai pas usage de mes connaissances contre les lois de l'humanité.
J'informerai les patients des décisions envisagées, de leur raisons et de leurs conséquences. Je ne tromperai jamais leur confiance et n'exploiterai pas le pouvoir hérité des circonstances pour forcer les consciences.
Je donnerai mes soins à l'indigent et à quiconque me le demandera. Je ne me laisserai pas influencer par la soif du gain ou la recherche de la gloire.
Admis dans l'intimité des personnes, je tairai les secrets qui me seront confiés. Reçu à l'intérieur des maisons, je respecterai les secrets des foyers et ma conduite ne servira pas à corrompre les mœurs.
Je ferai tout pour soulager les souffrances. Je ne prolongerai pas abusivement les agonies. Je ne provoquerai jamais la mort délibérément.
Je préserverai l'indépendance nécessaire à l'accomplissement de ma mission. Je n'entreprendrai rien qui dépasse mes compétences. Je les entretiendrai et les perfectionnerai pour assurer au mieux les services qui me seront demandés.
J'apporterai mon aide à mes confrères ainsi qu'à leurs familles dans l'adversité.
Que les hommes et mes confrères m'accordent leur estime si je suis fidèle à mes promesses ; que je sois déshonoré et méprisé si j'y manque. »
Ce serment prononcé par l’élève diplômé, juste avant d’être promu docteur en médecine, lui fixe un code d’éthique et d’honneur : celui d'exercer la médecine dans le seul intérêt des malades. Au regard des événements actuels (préparation d'une campagne de vaccination massive contre la grippe porcine/A/H1N1), nous sommes en droit de nous demander si ce serment est toujours respecté et honoré.
Le très sérieux "Journal of the American Medical Association" (JAMA) (N° 284 du 26 juillet 2000) a établi que la 3ème cause de mortalité, aux Etats-Unis, était "les médecins et la pharmacie" (effets mortels des traitements et médicaments) : 250.000 morts par an !
De tels chiffres sont transposables en France ; avec une proportion de 1/1000 on arrive alors au moins à 60.000 morts par an et donc quelque chose comme le crash total d'un avion de la capacité d'un Airbus A 320 tous les trois jours, rien que pour la France ! Prendriez-vous encore l'avion dans de telles conditions ?
La médecine que nous propose le "nouvel ordre moral" devient une médecine où le malade n'est plus un être humain en souffrance, mais un "con sot mateur" susceptible de faire fonctionner la prospérité de diverses organisations à buts très lucratifs et dont l'unique objectif est de prendre la santé en otage pour générer toujours plus de bénéfices.
En acceptant de se soumettre à une "médecine totalitaire", la profession médicale s'enlise de plus en plus dans un système de "pensée unique" au service du lobbyisme politico-médical et du cartel médico-pharmaceutique qui l'éloigne de sa mission première : être au service de la Vie et avoir pour but exclusif le bien-être de ses patients.
A propos, un autre adage attribué à Hippocrate, peut-être même le plus important de tous ses préceptes, n'est-il pas : "Primum nihil nocere" ?
"Tout d'abord, ne pas nuire"...
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